Dans la gestion des sicav, les gestionnaires peuvent aussi diversifier leurs stratégies. En général, c’est la stratégie « long » qui prévaut. Mais, les gestionnaires peuvent aussi mettre en place des techniques pour pouvoir profiter de la baisse des marchés. C’est ce qu’on appelle « shorter ». Dans les deux cas, il s’agit d’une gestion active des portefeuilles. Qu’entend-on par ces termes ?
Prêt de titres : Dissiper les mythes
Par NNIP
Qu’entend-on exactement par prêt de titres ? Il ne faut pas confondre le prêt sur titres et le prêt de titres. On parle de prêt de titres lorsque les fonds qui détiennent des titres en portefeuille les prêtent à des acteurs financiers contre une rémunération (loyer) et avec des garanties (collatéral) dont le montant est supérieur à celui du prêt. Dans la majorité des cas, ces prêts de titres permettent à ceux qui empruntent les titres de les shorter, c’est à dire de les vendre à découvert. Cette pratique fait l’objet de nombreuses critiques.
Les investisseurs ont quelques idées fausses sur le prêt de titres, en lien avec la crise financière mondiale, l’intégration ESG et les facteurs de risque. Abordons dix de ces mythes.
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Ventes à découvert : Un effet domino à double tranchant

Par Thomas Planell, Gérant-analyste chez DNCA
L’activité économique s’est montrée finalement plus résiliente que prévu en France au quatrième trimestre. Malgré un deuxième confinement, le secteur manufacturier a poursuivi sa reprise. L’industrie a su s’adapter aux conditions sanitaires. Si l’activité des services de restauration et d’hôtellerie reste en berne (40% sous ses niveaux pré-crise), la consommation des ménages a néanmoins montré une élasticité très positive à la levée des restrictions au moment des fêtes de fin d’année. Pour autant c’est moins la bonne tenue de l’économie au quatrième trimestre que les incertitudes des prochains mois qui occupent l’esprit des investisseurs.
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Flash-Actu : Ventes à découvert, algorithmes et fermeture de la bourse
Dans cette période inédite due au coronavirus, les marchés encaissent de fortes baisses. Des questions se posent sur les ventes à découvert (short selling), sur le rôle des algorithmes dans les ventes massives de titres et sur la nécessité de fermer les bourses. Eclairage avec Vincent van Dessel, CEO d’Euronext Brussels. Continuer la lecture sur Moneystore de « Flash-Actu : Ventes à découvert, algorithmes et fermeture de la bourse »
Flash-Actu : La FSMA interdit les ventes à découvert

L’Autorité belge des marchés a décidé, compte tenu des circonstances exceptionnelles, d’interdire les ventes à découvert.
De quoi parle-t-on ?
Pour rappel, les ventes à découvert consistent à spéculer sur la baisse d’une action en vendant les titres sans les posséder avec l’espoir de les racheter quand le cours sera plus bas. Le bénéfice provient de la différence de cours entre les prix de vente et d’achat. Ces positions sont généralement prises sur des durées très courtes. On appelle aussi cette opération vendre short ou shorter une action. Continuer la lecture sur Moneystore de « Flash-Actu : La FSMA interdit les ventes à découvert »
Qu’est-ce que une vente à découvert ?

Les ventes à découvert consistent à spéculer sur la baisse d’une action en vendant les titres sans les posséder avec l’espoir de les racheter quand le cours sera plus bas. Le bénéfice provient de la différence de cours entre les prix de vente et d’achat.Ces positions sont généralement prises sur des durées très courtes. On appelle aussi cette opération vendre short ou shorter une action.
Comment peut-on vendre un titre sans le posséder ?
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