Un dessin vaut parfois mieux qu’un long discours ! MoneyStore vous présente chaque mois un graphique illustrant un sujet économique. Ce mois-ci, nous vous présentons un graphique décrivant le coût de la vie dans différents pays autour du monde.
Par Mario Eisenegger, associate investment specialist, M&G Investments
La nouvelle a fait l’effet d’une bombe lorsque Postfinance, la première banque suisse dite « trop grosse pour faire faillite » (« too-big-too-fail »), a annoncé l’instauration de taux d’intérêt négatifs pour ses clients détenteurs de comptes de dépôt de plus de 1 million de francs suisses. Beaucoup se demandent désormais combien de temps cela prendra avant que les banques n’appliquent cette même formule aux épargnants. Nous serions portés à croire que cela ne sera pas très long compte tenu de la situation toujours difficile qui est celle des banques suisses.
Disposer de biens à l’étranger ou avoir des enfants qui résident dans un autre pays sont des situations qui exigent une planification patrimoniale spécifique. Lors du petit déjeuner financier organisé ce jeudi 17 novembre 2016, La Libre Belgique et le blog MoneyStore.be recevaient deux expertes spécialisées dans le domaine de la transmission et de la planification successorales : Maître Bérénice Delahaye, avocate au barreau de Bruxelles et Colette Téchy, Conseillère Juridique Wealth Analysis and Planning chez ING Private Banking.
Le monde est un village. Les échanges entre pays s’intensifient. Les acquisitions de biens immobiliers à l’étranger se répandent. Les jeunes partent étudier à l’étranger et s’y installent parfois pour y vivre et y travailler en fondant souvent une famille. Ces situations familiales et patrimoniales ont des conséquences en matière de succession. A quoi faut-il être attentif et comment planifier sa succession dans ce cadre ? Pour répondre à ces questions,
et
vous invitent au Petit Déjeuner Financer sur le thème
«Biens à l’étranger, enfants expatriés : comment planifier sa succession ? »
Le monde a déjà connu des taux d’intérêt négatifs : la Suisse a fixé des taux d’intérêt inférieurs à zéro pour les étrangers dans les années 1970 afin de ralentir les flux de capitaux vers le franc suisse. Toutefois, le contexte actuel de taux négatifs est nettement plus étendu : la Suisse, le Danemark, la Suède, le Japon, et la zone euro ont tous suivi le mouvement. Les objectifs des mécanismes de transmission des taux négatifs ont fait couler beaucoup d’encre (coûts d’emprunt directs plus abordables pour les ménages et les entreprises, se traduisant par un regain d’activité économique, effet de rééquilibrage des portefeuilles où les investisseurs vendent des actifs à rendement faible/négatif en vue d’acquérir des instruments plus risqués, réduisant ainsi les coûts de financement des entreprises, et, de manière controversée, diminuant l’attrait de la devise d’un pays dans un monde où la dévaluation compétitive est jugée souhaitable. Ce post cherche toutefois à mettre en évidence certaines autres conséquences des taux négatifs, parfois involontaires, et parfois engendrant divers problèmes pour les décideurs.
Le gouvernement a retiré le passage relatif à la régularisation fiscale du projet de loi-programme qui sera adopté d’ici la fin de l’année en raison de l’absence d’accord avec toutes les régions.
Depuis, le début de l’année 2015, on ne distingue pas vraiment de tendances claires dans l’évolution des performances des fonds. Des événements peu communs se succèdent dans la sphère économique et financière engendrant une forte volatilité sur les marchés. Lors des prévisions économiques pour 2015, les observateurs avaient effectivement prévu que l’année serait caractérisée par une volatilité accrue. Et c’est bien le cas !
La Suisse a décidé de ne plus bloquer le franc suisse à une parité de 1 euro pour 1,20 francs suisses. Cette décision de bloquer la parité franc suisse/euro avait été prise au plus fort de la crise des dettes souveraines, le 6 septembre 2011. A cette époque, le franc suisse était considéré comme une valeur refuge et les autorités helvétiques avaient décidé de bloquer la parité pour éviter que le franc suisse ne s’envole face à l’euro.