Les obligations, qui au contraire des actions, garantissent un certain rendement, constituent souvent la fondation d’un portefeuille de titres (quand elles n’en sont pas tout simplement l’unique composant). Une obligation n’est toutefois pas l’autre, tant au niveau du risque supporté par l’investisseur qu’au niveau des règles fiscales applicables. Un petit tour d’horizon de quelques formes d’obligations un peu moins classiques s’impose.
A quoi faut-il être attentif dans son portefeuille titres ?
Lorsque l’on a décidé de fairer gérer son portefeuille en gestion discrétionnaire, il convient de ne pas s’endormir dessus. Refaire le point régulièrement avec son gestionnaire est un acte de saine gestion. Par un mandat de gestion discrétionnaire, un investisseur confie à sa banque le mandat de gérer son portefeuille conformément à des directives générales et à son profil de risque. Dans le cadre d’une telle gestion, l’investisseur n’intervient pas dans les décisions relatives à la gestion de ce portefeuille.