
Les infrastructures de marché relatives à la distribution des fonds de placement (sicav) présentent un certain nombre d’inefficacités. Au niveau opérationnel, le nombre d’intermédiaires entre l’émetteur de fonds et l’investisseur final est pléthorique. « Il y a environ entre 5 et 6 intermédiaires entre l’émetteur et l’investisseur privé. Ces procédures sont longues et coûteuses. De plus, dans cette chaîne, beaucoup d’activités sont redondantes. Pour chaque fonds, il faut se reconnecter à l’émetteur et reprendre toute la procédure. C’est compliqué, coûteux et lent », constate Olivier Portenseigne Managing Director chez Fundsquare.
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