Dans l’univers de la gestion, la confusion entre les métiers est encore trop fréquente. Lorsque des gestionnaires de fonds s’expriment sur leur vision des marchés, certains pensent que ce sont des banquiers qui les informent. Par ailleurs, la distinction entre la gestion de fortune et la simple exécution des ordres de bourse n’est souvent pas très claire dans les esprits. Eclairage sur des métiers distincts.
Qu’est-ce que le swing pricing ?

Lorsque, dans un fonds de placement, des ventes ou achats importants de parts du fonds ont lieu, cela peut pénaliser les investisseurs existants. En effet, en l’absence de mécanismes anti-dilutifs, les coûts de transactions encourus pour les opérations sur les sous-jacents sont supportés de manière proportionnelle par tous les actionnaires du fonds. Ces coûts associés aux opérations d’entrée/sortie engendrent une dilution de la valeur de l’investissement des actionnaires existants d’un fonds. Le swing pricing sert à atténuer cet effet dilutif.
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C’est quoi un fonds d’investissement?

Par NNIP
Il s’agit d’une sorte de pot commun dans lequel de nombreux investisseurs mettent de l’argent. Le gestionnaire du fonds investit ensuite cet argent selon une stratégie prédéterminée. David Cassalaco, Client Relationship Manager chez NN Investment Partners, nous en dit un peu plus.
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Taxe Caïman et Sicav-FIS luxembourgeoises : état des lieux

Par Joyn Legal, Avocats
La » taxe caïman » instaurée par la loi du 15 août 2015 est un système qui permet d’imposer » par transparence » les revenus perçus par certaines » constructions juridiques » directement dans le chef des personnes physiques qui les ont créées ou qui en sont les bénéficiaires, comme si ces constructions n’existaient pas.
La loi du 26 décembre 2015 a étendu la portée de ce système (avec effet rétroactif au 1er janvier 2015) aux Organismes de Placement Collectif (OPC) » dédiés « , c’est-à-dire essentiellement ceux qui sont détenus par une seule personne ou par une même famille (ce qui est souvent le cas des SICAV-FIS luxembourgeoises).
Quelle interprétation ?
L’épargne des Belges est convoitée
Comme l’écureuil qui fait ses provisions à l’automne en enfouissant ses récoltes, le Belge est un épargnant prévoyant et quelque peu timoré. Il engrange son capital sur des livrets d’épargne à concurrence d’un montant total de 250 milliards d’euros. Or, cette fortune ne lui rapporte rien : à peine plus qu’un demi pourcent par an entièrement rongé par l’inflation.
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