Mario Draghi – MoneyStore

Une devise faible : un gage de bonne santé

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Par Kurt von Storch, Flossbach von Storch Invest 

Penchons-nous sur la principale préoccupation boursière de ces dernières semaines : l’euro. La monnaie commune a franchi il y a peu la barre des 1,20 dollar US pour la première fois depuis bien longtemps. Une monnaie forte est généralement synonyme d’une économie vigoureuse et robuste. En d’autres termes, on pourrait dire qu’il s’agit d’un label de qualité. Et nous n’en étions pas peu fiers dans le passé. Prenons le Deutsche Mark. Il nous a accompagnés pendant une bonne cinquantaine d’années. C’était un pilier de notre prospérité. Le Mark était un symbole de stabilité et de fiabilité.

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La récente remontée des bourses est basée une fois de plus sur des fondements fragiles

par défaut 2014-09-24 à 18.21.04Par Guy Wagner, Chief Investment officer de la Banque de Luxembourg

Dans la mesure où il devient de plus en plus évident que la politique monétaire expansive des banques centrales ne conduit pas à une relance durable de l’activité économique, la récente remontée des bourses est basée une fois de plus sur des fondements fragiles.

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Le soutien des banques centrales, une dépendance pour les marchés

Euro_ECBPar NN Investment Partners

Les marchés ont été de plus en plus volatils durant l’année écoulée et semblent être davantage influencés par le sentiment des investisseurs que par les fondamentaux économiques. Au cours de ces dernières années, les marchés ont développé une dépendance vis-à-vis du soutien des banques centrales et leurs réactions aux modifications de la politique monétaire sont devenues imprévisibles et souvent spectaculaires.

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Un fantôme parcourt le monde, c’est le fantôme de la déflation

DSCN1600Par Dieter Hein, Banque de Luxembourg

Aujourd’hui, quand on ouvre un journal financier et qu’on lit des articles traitant de l’évolution générale de l’économie, on est sans cesse confronté à la notion de « déflation » ce terme étant associé à d’autres : «peur», «souci» ou «risque». Ces associations sont d’autant plus inquiétantes que Mario Draghi, le président de la Banque centrale européenne, évoque inlassablement un risque de déflation qui doit être conjuré.

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Flash actu : Cessons de jouer à nous faire peur !

source Pixels-SONY DSC
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Lors des cours de finances organisés pour les femmes dans le cadre de la MoneyStore Academy, une question revient régulièrement : doit-on craindre une nouvelle crise financière ? Il est vrai que certains propos tenus dans la presse ont de quoi susciter l’inquiétude. Mais doit-on vraiment accorder un intérêt et une importance à ce genre de discours ? Pour être reconnu dans le monde économique, faut-il nécessairement être alarmiste ? Nous ne le pensons pas. Par contre, il faut continuellement s’informer sur la situation politique et économique. Penchons-nous sur une enquête récemment réalisée par l’agence Reuters auprès d’économistes qui révèle un certain optimisme.

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Une augmentation de la volatilité des actions est probable

par défaut 2014-09-24 à 18.21.04Par Guy Wagner, chief investment officer de la Banque de Luxembourg

L’économie mondiale continue à bénéficier de la faiblesse des prix pétroliers pour maintenir un rythme de croissance relativement stable. Au niveau géographique, les statistiques conjoncturelles européennes ont surpris agréablement au cours des dernières semaines, aidées par le recul de la monnaie commune.

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Des taux bas, la faute à qui ?

William hand high-rPar William De Vijlder, Group Chief Economist, BNP Paribas

Dernièrement, dans un journal financier anglo-saxon, l’auteur reprochait à la BCE de condamner les épargnants à la pauvreté avec sa politique d’assouplissement quantitatif. Des critiques similaires ont déjà été formulées dans le passé, par exemple lors des conférences de presse de Mario Draghi, notamment en provenance d’Allemagne. Il est vrai que les taux européens sont bas, voire très bas, non seulement au niveau du taux officiel, quasiment égal à zéro, mais également pour ce qui est des taux longs.

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Pensez à mettre quelques actions européennes sous le sapin de Noël

Photo007Par J.P. Morgan AM

Le recours à l’assouplissement quantitatif (AQ) par la Banque centrale européenne (BCE) figure en tête de la liste de Noël des investisseurs européens. Nombre d’entre eux estiment que le ton conciliant de Mario Draghi signifie que la BCE est sur le point de mettre en place un véritable programme d’achats d’obligations souveraines et selon eux, la question n’est plus de savoir si elle franchira le pas, mais quand. Ce scenario est quelque peu prématuré mais, s’il se concrétise en 2015, il convient de réfléchir aux conséquences concrètes d’un tel programme.

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