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Les gagnants et les perdants de 2023 : Quelles classes d’actifs privilégier ?

Par Mathieu L’Hoir, responsable de la gestion institutionnelle multi classes d’actifs chez AXA IM

 

En 2022, il n’y avait nulle part où se cacher. L’année de tous les records a été marquée par une vague de réduction du risque massive ainsi qu’un krach obligataire historique. On aborde 2023 avec un optimisme prudent et on privilégie les obligations sur la première partie de l’année, avant de revenir sur les actions lorsque les anticipations de bénéfices reflèteront le risque de récession.  Analysons les classes d’actifs à potentiel en 2023 et celles avec un potentiel limité.

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Une année difficile pour l’économie, meilleure pour les marchés : 10 thèses pour 2023

Par Vincent Juvyns, stratégiste chez J.P. Morgan Asset Management

L’environnement macroéconomique sera difficile cette année. Mais cela ne doit pas être synonyme d’une année difficile sur les marchés. On peut s’attendre à de bonnes opportunités de performances, surtout pour les obligations «Investment Grade» (IG). Voici quelques perspectives pour 2023 en 10 thèses.

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Obligations à haut rendement : une classe d’actifs essentielle ?

Par Alexis Renault, Global Head of High Yield, ODDO BHF AM

 

Le marché des obligations d’entreprises spéculatives à haut rendement en euros (Euro high yield) n’est plus un segment de niche. Après plusieurs années de croissance, il s’élève aujourd’hui à plus de 350 milliards d’euros. Les obligations high yield permettent de financer des entreprises présentes dans de nombreux secteurs : l’industrie, les services, la santé, etc… Le marché Euro high yield est composé de plus de 350 émetteurs et offre donc une bonne diversification.

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Hit-parade des fonds : Les obligations souffrent de la reprise économique

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Selon les chiffres fournis par Quantalys, les fonds investis en obligations ont connu un très mauvais début d’année. En effet, selon Ethenea, l’univers des obligations à rendement négatif a atteint près de 17.000 milliards de dollars l’année dernière. « Les rendements totaux des obligations d’entreprise high yield et high grade ont été très disparates cette année. Le facteur déterminant a été la duration, médiocre, qui pèse bien plus sur les titres high grade à plus longue échéance que sur leurs homologues à duration plus brève. Mais cet écart s’explique aussi par diverses tendances sous-jacentes en matière de risques », explique Maya Bhandari Gérante de portefeuilles multi-actifs Chez Columbia Threadneedle.

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Quelles opportunités sur les obligations des marchés émergents ?

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Par Claudia Calich, gestionnaire du fonds M&G (Lux) Emerging Markets Bond Fund

Où trouver des opportunités au sein des obligations des marchés émergents ? Y en a-t-il en Chine ? Et comment évaluer les critères ESG pour ces obligations ?  Au début de l’année 2020, alors que la crise du COVID-19 s’installait, les spreads se sont élargis de manière très significative tant sur les segments Investment Grade (IG) que sur ceux du High Yield (HY) dans les pays émergents. Depuis lors, les spreads IG se sont entièrement réduits et sont revenus aux niveaux pré-pandémiques, malgré l’augmentation généralisée de la dette. Les spreads sur le segment HY du marché restent sensiblement plus larges qu’avant la crise COVID-19 et offrent de bonnes opportunités.

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Les obligations offrent des opportunités, même sans intérêt

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Par Frank Lipowski, gestionnaire de fonds chez Flossbach von Storch AG.

La pandémie de corona touche presque tout ce qui fait notre vie quotidienne. Nous travaillons dans notre propre salon, nous annulons des fêtes, nous portons des masques et nous gardons nos distances lorsque nous allons au restaurant. En ce qui concerne les marchés financiers, les changements sont encore plus graves. Ici, le Covid-19 est un turbocompresseur pour les tendances à long terme. Les programmes d’aide (nécessaires) des États laissent la dette nationale s’envoler rapidement.

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Facteurs de bouleversements induits par le COVID-19

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Rédigé le 13 mars 2020 par Iain Stealey, CIO Obligations internationales J.P. Morgan Asset Management.

La propagation du virus COVID-19 et ses répercussions sur l’économie continuent de susciter de vives inquiétudes. Évaluons les facteurs de bouleversement de la situation au cours des derniers jours et ce qu’il faudrait pour stabiliser les marchés.

Le taux de croissance au jour le jour des cas confirmés en Chine a sensiblement ralenti, passant d’un pic de 55 % fin janvier à moins de 1 % en mars. L’activité reprend, la période de quarantaine dans la province du Hubei ayant pris fin le 10 mars. Cependant, la propagation du virus s’accélère partout ailleurs dans le monde : le 10 mars, l’Organisation mondiale de la santé a signalé des cas dans 110 nouveaux pays. Du côté des facteurs d’aggravation, l’OPEP+ (Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés) a échoué à parvenir à un accord sur les solutions pour réduire l’offre compte tenu de la baisse de la demande prévue en énergie. La baisse des prix du pétrole qui a suivi (le pétrole brut américain a chuté de 25 % le 9 mars) a exacerbé la volatilité des marchés financiers. Continuer la lecture sur Moneystore de « Facteurs de bouleversements induits par le COVID-19 »

Quels sont les changements qui interviennent sur les marchés obligataires ?

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Par Didier Le Menestrel, Président, La Financière de l’Echiquier

Le dicton « le pouvoir de dire Oui» reprenant un célèbre slogan des années 90, devise du Crédit Lyonnais, illustrait parfaitement le développement à tout crin du crédit aux entreprises par les obligations privées, un financement par le marché plutôt que par les traditionnels prêts bancaires.

Aujourd’hui, la situation s’inverse et le financement par les marchés devient plus sélectif. La fin programmée des politiques de Quantitative Easingà travers le monde marque le début d’une nouvelle ère, où le robinet du « crédit facile », généreusement ouvert par les banques centrales, se tarit.

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