Par Ophélie Mortier, Chief Sustainable Officer chez DPAM.
Les derniers scandales d’accusation d’éco-blanchiments et les articles très critiques sur l’ESG parus récemment dans le renommé magazine The Economist laissent à penser que les régulateurs ont bien fait de prendre à bras le corps le sujet !
A quelques semaines de l’échéance d’implémentation du niveau deux de la réglementation SFDR, peut-on faire déjà quelques bilans provisoires ?
Certainement ! Le manque de clarté et de compréhension pour l’investisseur, la complexité pour remplir au mieux les exigences réglementaires et le risque encore plus grand d’éco-blanchiment ressortent unanimement des premiers résultats.