gestion discrétionnaire – MoneyStore

Comment discuter de durabilité avec mon banquier ?

Les banques privées seront tenues d’intégrer les préférences en matière de durabilité de leurs clients en gestion discrétionnaire. Dans ce cadre, elles devront insérer, dans le profil MiFID, des questions concernant le profil de durabilité. Pour les investisseurs individuels qui désireraient aussi y voir plus clair dans leurs préférences en matière d’investissement socialement responsable, il peut être intéressant de faire le point sur leurs objectifs durables. Une fois clairement établis, ces objectifs pourront alors servir de base pour choisir le placement qui s’accorde le mieux avec ce but à atteindre.

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Comment le profil MiFID sera revu sous l’angle de la durabilité?

Dans le cadre de la règlementation MiFID II (Markets in Financial Instruments Directive), la Commission européenne rend obligatoire, à partir de 2022, la prise en compte des préférences des investisseurs en matière de durabilité. Cela concerne les services financiers de type conseil ou gestion de portefeuille. Qu’est-ce que cela va avoir comme conséquences pour l’investisseur ? Et pour le secteur financier ?

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Qu’est-ce que les robo-advisors ?

Photo035Aujourd’hui, un des défis du secteur de la gestion de fortune est l’émergence de nouvelles offres en ligne. Dans le domaine de la gestion en ligne, on distingue deux types d’offres : la gestion discrétionnaire en ligne et les robo-advisors. D’une part, il y a la gestion active qui définit les postes du portefeuille en opérant une sélection de fonds ou de valeurs sur base de l’avis d’un comité d’investissement. D’autre part, on parle de robots de gestion (robo-advisors) qui sélectionnent les valeurs en portefeuille sur base d’algorithmes avec un minimum d’intervention humaine.

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Comment procéder au transfert de son portefeuille en gestion ?

Photo016Etre en gestion discrétionnaire chez un banquier privé n’est pas une voie sans issue. En cas de changement dans l’équipe de gestion, de modification de l’actionnariat ou tout simplement en cas de mécontentement sur les résultats de la gestion en général, les clients qui ne seraient plus satisfaits de leur gestionnaire peuvent toujours effectuer le transfert de leur portefeuille vers une autre maison de gestion.

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Comment gérer son portefeuille : seul ou se faire conseiller ?

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Lorsque l’on dispose d’un portefeuille de valeurs mobilières, la question qui se pose est de savoir s’il vaut mieux gérer son portefeuille seul s’il faut plutôt se faire conseiller. La réponse à cette question est nuancée et va dépendre d’un ensemble de facteurs.

Le premier facteur est le montant du portefeuille en question. S’il est important (au-delà de 250.000 euros), un conseil sera sans doute recommandé. Un autre point à analyser est le niveau de risque que l’investisseur est prêt à prendre. Est-il capable de bien cerner le risque des produits en portefeuille ? C’est alors que doit se poser le constat concernant ses connaissances en matière financière. Car c’est souvent là que le bât blesse. En effet, on remarque que les connaissances de l’investisseur belge en matière de placement sont assez limitées. Dans ce cas, il sera sans doute plus prudent de demander conseil à son banquier. Il faut aussi analyser l’horizon de placement. Pour un horizon très court, le conseil en placement s’avérera sans doute moins utile.

On oublie souvent que le recours à un conseil en investissement peut se faire de différentes façons. Pour des montants faibles ou pour des personnes ayant déjà un bon niveau de connaissances financières, le recours aux fonds de placements (sicav) peut s’avérer être une bonne alternative. Après avoir défini son profil de risque, l’investisseur peut se tourner vers une sicav patrimoniale qui lui permettra de bénéficier d’une bonne diversification, d’une gestion professionnelle à partir de faibles montants et avec des frais de gestion acceptables. Dans un fonds global, mixte ou patrimonial, le gestionnaire établit la répartition des actifs en fonction du profil de risque de l’investisseur et de l’évolution des marchés. Il investit donc dans différentes classes d’actifs : actions, obligations, placements monétaires. Dans une sicav globale, le gestionnaire peut, en cas de mauvaise situation sur les marchés d’actions, par exemple, arbitrer ses avoirs vers les obligations ou les actifs monétaires. Après avoir défini son profil de risque, l’investisseur peut s’orienter vers le fonds patrimonial qui lui convient le mieux : défensif, neutre ou agressif. S’il s’agit de son premier investissement en actions il optera pour une sicav de type défensif qui investit plus en obligations qu’en actions.

Pour les montants plus conséquents, l’investisseur peut se tourner vers la gestion professionnelle : gestion-conseil ou gestion discrétionnaire. Dans le cadre de la gestion-conseil, le conseiller peut anticiper et proposer des opérations mais il n’effectue aucune opération sans un accord écrit de la part de l’investisseur. Toutes les opérations financières sont décidées par l’investisseur qui reste le « maître du jeu ». Par contre, dans la gestion discrétionnaire, l’investisseur délègue la gestion à son banquier privé. Après la signature d’un contrat de gestion et la délimitation de ce mandat en fonction du profil de risque, de l’horizon d’investissement, des besoins du client, le banquier gèrera le portefeuille sans demander l’accord du client préalablement à chaque opération. Ce service a bien sûr un coût auquel l’investisseur devra être attentif. En général, la gestion discrétionnaire s’envisage à partir d’un portefeuille de 500.000 euros.

A noter qu’un professionnel de la gestion dispose d’une expertise et d’un accès aux informations sur les marchés. Son aide peut être précieuse et constituer un bon outil dans une démarche de recherche de rendement et surtout de gestion du risque. Cependant, en cas de changement de gestionnaire, il faudra être attentif aux frais de transferts et aux taxes.

En marge de la gestion discrétionnaire classique, une nouvelle offre émerge sur le marché : la gestion discrétionnaire en ligne à partir de montants beaucoup plus faibles (25.000 ou 10.000 euros). Ces offres sont simples, avec des coûts moindres et donnent accès à un service de gestion à partir de montants assez bas. Ces offres se basent sur des portefeuilles de fonds de placements ou sur des trackers (fonds indiciels ou ETF).

Quel que soit le mode de gestion choisi, l’investisseur doit toujours respecter quelques principes de base. Il doit veiller à diversifier ses avoirs, avoir un horizon à long terme s’il investit en actions. Il doit également suivre son portefeuille même s’il est en gestion discrétionnaire et ne pas se laisser dominer par ses émotions… Mais ça c’est une autre histoire !

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MiFID II, quelles conséquences dans votre portefeuille ?

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Qu’est-ce que MiFID II ? Quelles conséquences dans votre portefeuille ?

Photo029#1Une nouvelle directive européenne, MiFID II (pour Markets in Financial Instruments Directive), est entrée en vigueur le 3 janvier 2018. Cette directive va, parmi plusieurs mesures, remettre de l’ordre dans les rétrocessions de frais de gestion. De quoi parle-t-on exactement ? Les investisseurs savent que les gestionnaires des sicav sont rémunérés pour leur gestion par le prélèvement de frais de gestion annuels. Ces commissions sont retenues directement par la sicav et sont donc déduites de la valeur nette d’inventaire du fonds.

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Cercle Femmes & Finances : programme 2015-2016

IMG_1096Suite aux cours de finances organisés pour les femmes dans le cadre de la MoneyStore Academy, MoneyStore a lancé en septembre 2015 le Cercle Femmes & Finances. Ce cercle a pour vocation d’accompagner les femmes dans le monde de la finance et des placements grâce à des conférences et des visites. A partir de septembre 2015, un nouveau programme sera lancé dans le cadre du Cercle Femmes & Finance.

Voici le programme du Cercle Femmes & Finance pour 2015-2016:

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MiFID II, un tsunami dans le monde de la gestion !

DSCN2500 - Version 2Les réglementations concernant la gestion de portefeuille ne cessent de contraindre les banquiers et gestionnaires de portefeuille à de nouvelles obligations. Une des dernières en date, MiFID II, n’est pas encore implémentée mais fait déjà couler beaucoup d’encre. Des pays comme la Grande-Bretagne et les Pays-Bas ont déjà contraint le secteur à l’appliquer, ce qui laisse entrevoir les changements que cela risque d’entraîner pour le secteur financier. Elle va drastiquement changer le paysage de la gestion de portefeuille.

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