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Dividendes élevés : les actions à privilégier en cas de stagflation

Par Vincent Juvyns, Global market Strategist chez J.P. Morgan Asset Management.

Si, en période de récession les bénéfices par action baissent, ce n’est pas le cas des dividendes qui conservent tout leur attrait. Dans les prochains mois, deux choses semblent quasi certaines. La croissance économique mondiale va continuer à ralentir, et même se contracter dans certains cas, tandis que l’inflation devrait demeurer largement au-dessus de l’objectif des banques centrales dans la plupart des cas.

 

Si le risque de récession est aujourd’hui élevé dans nombre de régions, c’est bien entendu en raison de la crise énergétique, induite par le conflit en Ukraine qui est venu aggraver et pérenniser les pressions inflationnistes préexistantes. Cela a entrainé une forte hausse des taux d’intérêts.

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Le bon, la brute et le truand

Par Vincent Juvyns, Stratégiste chez JP Morgan AM

Le mois de juin est traditionnellement le mois des publications des « bilans et perspectives à mi-année » dans la communauté financière. Cette année, avant de publier notre « Mid-year outlook 2022 », nous avons souhaité interroger nos clients afin de connaitre leur scénario économique pour les prochains mois et le moins que l’on puisse dire, c’est que leurs attentes ne sont guère optimistes.

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Dividende rime aussi avec humain, société et environnement

Par Deutsche Banque Belgique

En résumé :

  • Traditionnellement, l’investissement en actions est rentable de deux manières différentes : par la hausse du cours et/ou l’attribution d’un dividende.
  • Depuis quelques années, les investisseurs ont découvert une troisième source de rendement : la création de plus-value pour l’humain, la société et l’environnement. C’est la dimension ESG (Environnemental, Social & Gouvernance).
  • Investir en tenant compte du dividende, mais aussi des critères ESG, c’est intéressant à plusieurs égards.

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Comment se présente l’année 2021 pour la distribution des dividendes ?

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En 2020, la distribution des dividendes s’est ralentie. La reprise économique sera-t-elle synonyme de distribution de dividendes normale ? Le point avec Stuart Rhodes, gestionnaire du fonds M&G (Lux) Global Dividend Fund.

Nous avons connu le pire environnement de dividendes depuis la Seconde Guerre mondiale. Aujourd’hui, il semblerait que les dividendes sont sur la voie de la reprise. Les dividendes augmentent dans un large éventail de pays et de secteurs, signe de la confiance des entreprises alors que l’économie mondiale rouvre dans un contexte de demande refoulée et d’expansion budgétaire.

 

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Déclaration d’impôts : Penser au remboursement de précompte sur dividendes

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Pour rappel, les investisseurs qui ont payé un précompte de 30% sur leurs dividendes en 2020 peuvent récupérer, via leur déclaration fiscale, une somme correspondant au précompte mobilier sur des dividendes perçus.

Pour les dividendes perçus en 2020, cette déduction s’élève à 30% d’une première tranche de maximum 800 euros, soit un avantage pouvant atteindre 240 euros par contribuable.

Ce montant sera imputé sur les impôts ou remboursé lors du décompte final de la déclaration fiscale. Il était prévu d’indexer ce montant. Cependant, l’indexation a été gelée avec effet rétroactif. Les montants de cet avantage sont donc les mêmes que ceux de l’année passée.

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Une année record pour les rachats d’actions en Europe ?

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Par Thomas Planell, Gérant-analyste chez DNCA

Si le rythme des bonnes surprises se maintient, les publications des entreprises européennes pourraient entériner la meilleure saison de résultats jamais enregistrée depuis 2007.
Pour les entreprises exposées à l’international ou celles dont la rotation de l’actif n’est pas bridée par les restrictions sanitaires, les volumes d’affaires confirment que l’optimisme induit par les indicateurs macroéconomiques notamment dans le secteur manufacturier était de bon aloi.

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Pour sortir du labyrinthe des taux faibles : suivez le guide !

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Par Deutsche Bank Belgique

En résumé :

  • Les taux d’intérêt sont au plus bas depuis plusieurs années. Une situation qui n’est pas près de changer.
  • Il existe néanmoins des solutions à rendement potentiel pour les investisseurs prudents.
  • Les produits structurés et/ou certains fonds d’investissement cherchent à générer des revenus réguliers.

Il est loin le temps où, pour avoir une certitude de rendement, l’investisseur belge prudent mobilisait son épargne dans un Bon d’État ou un bon de caisse. Le calcul était alors facile : un taux d’intérêt séduisant et fixe, une durée déterminée et un remboursement du capital à l’échéance. Malheureusement, cette époque est définitivement révolue.

Aujourd’hui, les taux sont au plus bas. Tellement bas qu’ils en deviennent même négatifs. Le 11 décembre dernier, le rendement de l’obligation gouvernementale belge à dix ans (OLO 10 ans) a atteint son plancher historique : -0,44%.

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2020 : Mauvaise année pour les dividendes ?

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La crise sanitaire a impacté la sphère financière de plusieurs manières. En raison du ralentissement économique, de nombreuses entreprises cotées n’ont pas distribué de dividendes. D’autres sociétés ont réduit la voilure dans cette distribution. « Les dividendes mondiaux ont baissé de 55 milliards de dollars à 329,8 milliards au troisième trimestre, soit une baisse globale de 14,3 %. La baisse a été moins sévère qu’au deuxième trimestre, car les tendances saisonnières du troisième trimestre ont favorisé les régions du monde où les dividendes ont le mieux résisté », précise Sander van der Ent, Head of EMEA ex-UK Institutional Business chez Janus Henderson.

Un tiers des entreprises ont ainsi annulé ou diminué leurs dividendes. Selon Janus Henderson, dans le meilleur des scénarios, ce sont plus de trois années de croissance des dividendes qui seraient ainsi effacées, privant les investisseurs de 224 milliards de dollars de revenus cette année. Mais la situation est cependant nuancée.

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