big data – MoneyStore

Investissement durable : quels facteurs sociaux peuvent être identifiés grâce au big data ?

Par JP Morgan AM

La révolution du « big data » a changé la donne pour l’investissement social dans l’ESG. L’explosion des sources de données alternatives a offert une fenêtre sur les entreprises que les investisseurs n’avaient jamais eue auparavant. Cela contribue à révéler des risques et des opportunités qui n’étaient pas disponibles auparavant à partir des seules divulgations des entreprises.

Continuer la lecture sur Moneystore de « Investissement durable : quels facteurs sociaux peuvent être identifiés grâce au big data ? »

10 ans de MoneyStore : Quelle est l’évolution des FinTechs en 10 ans ?

@pexels

Cet automne, MoneyStore.be fête ses 10 ans. C’est l’occasion de voir comment les FinTechs ont évolué en 10 ans. Les FinTechs sont d’abord apparues dans le monde anglo-saxon. Au départ, elles étaient vues comme des disrupteurs dans le secteur financier. Elles déploient une offre dans tous les segments de l’activité bancaire : prêts, crédits, gestion, paiements, échanges de devises,…

 

Aujourd’hui, le secteur a évolué. Une offre s’est déployée en Belgique. C’est surtout une avancée dans les moyens de paiement qui s’y est développée. Actuellement, les FinTechs déploient aussi une proposition de services conjointe avec les grands acteurs du secteur bancaire.

Plus agiles, elles permettent aux acteurs de la finance d’offrir des services davantage en adéquation avec les demandes des clients. Ce secteur est encore amené à se déployer durant les années à venir.

Nous vous invitons à découvrir l’évolution des FinTechs avec Jean-Louis Van Houwe, Président de FinTech Belgium dans la vidéo ci-dessous.

 

Consultez aussi sur MoneyStore :

L’ensemble des articles sur les FinTechs

Les autres vidéos relatives aux 10 ans de MoneyStore

Intelligence artificielle : de la fiction à la science

@Pexels

Par Dieter Vandewiele, Fund Analyst, Deutsche Bank Belgique

L’intelligence artificielle (IA) est appelée à régenter nos vies. En tant qu’investisseur, comment en tirer parti ? L’intelligence artificielle (IA) pourrait être l’évolution la plus disruptive de cette décennie. Elle peut être un thème d’investissement intéressant dans le cadre d’un portefeuille dynamique et largement diversifié.

On a coutume de dire que la machine à vapeur a entraîné la première révolution industrielle, l’électricité et le moteur à combustion interne la deuxième et l’ordinateur la troisième. La quatrième révolution industrielle pourrait bien être celle de l’intelligence artificielle. Continuer la lecture sur Moneystore de « Intelligence artificielle : de la fiction à la science »

Qu’est-ce qu’un data scientist ?

@Pexels

Avec le développement des moteurs de recherche et l’abondance des données, il est nécessaire de pouvoir traiter ces informations de plus en plus abondantes. On assiste à une importante augmentation de la puissance de traitement des ordinateurs. La capacité de stockage et la masse d’informations disponible entraînent une croissance exponentielle de la quantité de données qui pourrait être interprétée par un analyste ou un gestionnaire de fonds. En même temps, un nouveau type de métier voit le jour : les « data scientists ». Ce sont de véritables professionnels des données. Ils combinent une expertise en traitement des données avec un attrait pour la finance. Continuer la lecture sur Moneystore de « Qu’est-ce qu’un data scientist ? »

Les investisseurs peuvent-ils profiter de la révolution des données ?

@pexels

Par Ben Wickset et Mark Ainsworth, spécialistes données chez Schroders

La collecte et l’analyse des données changent de façon radicale. Une quantité gigantesque d’informations est désormais disponible, des données de géolocalisation à l’enregistrement douanier, en passant par des données démographiques. La manipulation de ces données était impensable il y a peu. Les investisseurs qui combinent le traitement et l’analyse de données à l’échelle industrielle à une expertise d’investissement avérée pourront en tirer de nombreux avantages.

Continuer la lecture sur Moneystore de « Les investisseurs peuvent-ils profiter de la révolution des données ? »

Qu’est-ce que KYC ?

@Pexels

KYC pour « Know Your Customer » est la dénomination de toute la procédure qui permet à une banque d’identifier un client. A priori, l’identification d’un client paraît simple : il suffit de lui demander de remplir les documents d’ouverture de compte, de lui demander sa carte d’identité et de vérifier la concordance entre les deux. Mais, en réalité, cette procédure réglementaire est assez exigeante.

Continuer la lecture sur Moneystore de « Qu’est-ce que KYC ? »

Les nouvelles thématiques d’investissement liées à la disruption sont-elles compatibles avec l’investissement durable et responsable ?

@pexels

Par Ophélie Mortier, Degroof Petercam

Nous sommes confrontés dans notre quotidien à de nouvelles réalités résultant notamment de technologies appelées « disruptives ». Celles-ci se caractérisent par des découvertes scientifiques qui changent radicalement les fondements des technologies actuelles et offrent ainsi un nouvel environnement pour développer des applications entièrement inédites. On parle de « disruption » pour marquer la conséquence directe de ces innovations : l’obsolescence des anciens produits ou services rendus obsolètes. Le meilleur exemple est le smartphone qui a déclassé le mobile de première génération, lui-même ayant détrôné le téléphone fixe.

Continuer la lecture sur Moneystore de « Les nouvelles thématiques d’investissement liées à la disruption sont-elles compatibles avec l’investissement durable et responsable ? »

Digitalisation : quels défis pour l’emploi et la fiscalité ?

@Pexels

Koen de Leus, Chief Economist chez BNP Paribas Fortis, réagit aux propositions émises par l’Economic Prospective Club dans le cadre de la réflexion sur la digitalisation.

En matière d’emploi, les défis sont nombreux. « Je ne pense pas que nous irons vers un chômage de masse avec des taux de l’ordre de 20 à 30% en raison de l’automatisation. Il faut être conscient que l’on ne va pas automatiser des jobs mais plutôt des tâches », note Koen De Leus. Les emplois qui disparaîtront seront ceux qui sont constitués d’un ensemble de tâches répétitives.

Continuer la lecture sur Moneystore de « Digitalisation : quels défis pour l’emploi et la fiscalité ? »