BCE – MoneyStore

Après une première moitié d’année mouvementée, que réserve l’avenir pour les marchés ?

 

Par Ebury

La première moitié de 2023, qui a vu un certain nombre d’événements clés et une activité accrue sur les marchés, est terminée. Mais quels ont été les principaux développements sur le marché des changes au cours des six derniers mois ? Voici le bilan de l’année jusqu’à présent, et ce à quoi s’attendre sur les marchés financiers pour le reste de l’année.

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Les marchés émergents ont un retard à rattraper

Par Christofer Govaerts, Economiste en chef à la Banque Nagelmackers

Sur base des perspectives semestrielles, on voit toujours un potentiel dans les actions américaines, en particulier dans les entreprises de haute qualité, et dans les valeurs des pays émergents, étant donné qu’ils ont pris du retard et que les banques centrales de ces pays sont plus susceptibles d’envisager un assouplissement monétaire.
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Springbreak sur les taux? 

Par Thomas Planell, Gérant – analyste chez DNCA

Springbreak sur les taux ? Pas en zone euro ! Après 8 hausses consécutives, le programme de hausse des taux de la BCE (3,5%, un plus haut sur deux décennies) continue. Tandis que la Fed marque le pas… Pourquoi Jerome Powell a-t-il donc manqué l’opportunité de relever ses taux alors que les projections terminales des gouverneurs de la Fed passent de 5,1 à 5,6% en 3 trois mois ? Plafond de la dette, fragilité du système bancaire depuis SVB, erreurs de communication interne avant la quiet period… le Président de l’institution financière la plus puissante du monde semble avoir dû, contrairement à Christine Lagarde, retirer temporairement la main de fer de son gant de velours…

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Hit-parade des fonds : Que nous disent les variations de l’or ?

Sur base des données fournies par Quantalys à fin mai, on constate que les actions investies dans le secteur de l’or ont perdu 7 % au cours du mois de mai. Mais, le métal jaune avait atteint des sommets historiques au début de ce mois. On a donc assisté à une simple correction sur un actif qui affiche toujours une valeur élevée. Mais comment explique-t-on ce niveau élevé du cours de l’or ?

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Test de résistance climatique de la BCE : plus un exercice qu’un véritable test

Par Brenda Van Tendeloo, BNB

« Ce que nous devons apprendre à faire, nous l’apprendrons en le faisant. » En sa qualité d’autorité de surveillance des banques, la Banque centrale européenne (BCE) a eu à cœur de mettre en œuvre les sages paroles d’Aristote lorsqu’elle a procédé à son test de résistance ou stress test climatique un peu plus tôt cette année.

 

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Flare me to the moon

Par Thomas Planell, Gérant – analyste, chez DNCA

La mélodie qui se joue sur le marché de l’électricité aujourd’hui rappelle le blocage des marchés interbancaires en 2008. Encore peu visible par les yeux du consommateur final, le centre névralgique du négoce d’énergie européen, le marché de gros, est en épilepsie. La hausse des prix depuis deux ans pousse le prix de l’électricité à un niveau équivalant à 700 dollars sur le baril de pétrole. Les appels de marge totalisent près de 1.500 milliards d’euros, consumant les liquidités des acteurs du secteur aussi sûrement que Gazprom « flare » (brule) la précieuse vapeur inflammable plutôt que de la livrer à l’Europe par Nord Stream 1.

Banques centrales campées sur leur position et prévisions moroses pour les bénéfices

Par NNIP

Alors que la Fed et la BCE confirmaient leur détermination à maintenir une politique monétaire restrictive pour éviter que les prévisions d’inflation ne deviennent incontrôlables, les actifs à risque continuent de chuter. Pour le moment, la pression croissante sur la croissance économique ne suffit pas à pousser les banquiers centraux à modérer leur position de durcissement. Les discours agressifs prononcés par le président de la Fed, Jerome Powell, et le membre du directoire de la BCE, Isabel Schnabel, lors du sommet de Jackson Hole, ont une fois de plus montré qu’un assouplissement de la politique avant la fin de l’année était peu probable. Aux États-Unis, l’inflation globale pourrait être modérée dans les prochains mois, mais elle restera probablement trop élevée pour être confortable. Dans la zone euro, la hausse des prix de l’énergie signifie que le pic d’inflation semble loin d’être atteint.

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