Par Vincent Juvyns, Global Market Strategist, J.P. Morgan Asset Management
Après les turbulences survenues dans le secteur bancaire en mars, voici un éclairage sur les récentes tensions dans ce secteur.
Mieux comprendre la finance et l'économie !
Par Vincent Juvyns, Global Market Strategist, J.P. Morgan Asset Management
Après les turbulences survenues dans le secteur bancaire en mars, voici un éclairage sur les récentes tensions dans ce secteur.
Par Vincent Juvyns, Global market Strategist chez J.P. Morgan Asset Management.
Si, en période de récession les bénéfices par action baissent, ce n’est pas le cas des dividendes qui conservent tout leur attrait. Dans les prochains mois, deux choses semblent quasi certaines. La croissance économique mondiale va continuer à ralentir, et même se contracter dans certains cas, tandis que l’inflation devrait demeurer largement au-dessus de l’objectif des banques centrales dans la plupart des cas.
Si le risque de récession est aujourd’hui élevé dans nombre de régions, c’est bien entendu en raison de la crise énergétique, induite par le conflit en Ukraine qui est venu aggraver et pérenniser les pressions inflationnistes préexistantes. Cela a entrainé une forte hausse des taux d’intérêts.
Par ODDO BHF
La gestion « Value » consiste à sélectionner des actions décotées, c’est-à-dire des actions dont le prix est inférieur à ce qu’il devrait être au regard de la valeur intrinsèque de l’entreprise. Ce style de gestion mise sur la correction de cette anomalie de marché qui viendra réévaluer le titre à sa juste valeur sur le moyen-long terme.
Selon les données fournies à fin octobre 2021 par Quantalys, on constate que les fonds investis en valeurs financières ont particulièrement bien performé depuis le début de l’année.
Avec une hausse de plus de 33%, ces valeurs font preuve d’un beau rebond. « Les deux secteurs qui ont affiché les meilleures performances depuis le début de l’année sont ceux de l’énergie et de la finance. Ce sont deux segments de l’économie qui sont très cycliques. Ils ont ainsi bénéficié de la normalisation de l’économie après la crise du Covid-19 », explique Charles-Henri Kerchove, Directeur des investissements multi assets chez Fidelity International.
Continuer la lecture sur Moneystore de « Hit-Parade des Fonds : Le retour en grâce des financières »
Le secteur bancaire est soumis à de fortes pressions. La pandémie du Covid-19 a, par ailleurs, accéléré sa mutation. Dans cet environnement, les banques doivent faire face à des facteurs disruptifs qui les contraignent à évoluer. « Il y a, d’une part, les nouveaux entrants sur le marché bancaire. On fait référence ici aux FinTechs et aux néo-banques. C’est le plus gros défi que les banques distinguent.
Ensuite, il y a les incertitudes économiques. Ces dernières ont été d’autant plus frappantes avec la crise du Covid-19 », note Robert van der Eijk Managing Director chez Capgemini. En effet, les confinements à répétition et les conséquences économiques et financières de la crise sanitaire ont engendré des bouleversements et des incertitudes d’une ampleur inédite.
Continuer la lecture sur Moneystore de « Qu’est-ce que la banque 4.0. ? »
Selon les données fournies par Quantalys, les fonds investis en valeurs financières ont particulièrement bien performé durant le mois de février 2021. En effet, la performance de l’Euro Stoxx Banks est très supérieure à celle des indices européens généraux tels que l’Euro Stoxx 50. Cette belle performance arrive après dix années consécutives de forte sous-performance. Comment peut-on expliquer cette belle rentabilité ?
Continuer la lecture sur Moneystore de « Hit-parade des fonds : Le retour des financières »
Selon les chiffres publiés par Statbel, en 2019, l’espérance de vie à la naissance s’établissait en Belgique à 81,8 ans pour la population totale. Elle était de 84 ans pour les femmes et de 79,6 ans pour les hommes. Ces chiffres sont un peu plus élevés en France. « En France, en 2019, l’espérance de vie à la naissance est de 85,6 ans pour les femmes et de 79,7 ans pour les hommes. Ces cinq dernières années, ils ont gagné 0,5 an d’espérance de vie et les femmes 0,2 an. L’espérance de vie continue de progresser mais les gains ralentissent », peut-on lire sur le site de l’INSEE.
Par Arthur Jenck et Erik Joly, ABN AMRO Private Banking
Alors que le secteur bancaire était à l’origine de la crise financière mondiale en 2008-2009, il peut désormais jouer un rôle crucial dans la gestion économique du coronavirus : accès à des liquidités pour des entreprises ou citoyens dans le besoin, diversification du risque de crédit pour les banques centrales. Le secteur n’est pourtant pas à l’abri. Il est en effet le plus endetté par nature et dépend fortement du cycle économique. Continuer la lecture sur Moneystore de « Quel avenir pour le secteur bancaire ? »