Quand on est actionnaire, on est co-propriétaire de l’entreprise. A ce titre, on a des droits : droit à l’information, droit de vote à l’assemblée générale et droit au dividende s’il est distribué. Il y a trois moyens d’exercer son droit de vote : soit en se rendant à l’assemblée générale des actionnaires, soit par correspondance, soit par procuration.
Voici la liste des assemblées générales pour les sociétés du Bel20.
Nous en avions parlé dans le blog du 24 juin 2021, les résolutions à l’assemblée générale des entreprises sur le « say on climate » continuent à s’amplifier. Elles ont été un sujet majeur de la saison de vote 2022.
Pour rappel, le « Say on Climate » est une résolution qui figure à l’ordre du jour des assemblées générales. Elle peut être déposée par l’entreprise elle-même ou par ses actionnaires, afin que ces derniers votent chaque année sur la politique climatique des sociétés cotées et assurent ainsi un dialogue permanent autour des défis écologiques. La société espagnole Ferrovial était à l’avant-garde. Depuis lors, la demande n’a cessé d’augmenter.
Pour rappel, la directive SRID II vise à favoriser l’engagement à long terme des actionnaires dans les sociétés cotées sur un marché réglementé européen et la transparence entre ces sociétés et les investisseurs. Parmi les exigences reprises dans cette directive, il y a l’obligation pour les intermédiaires de faciliter l’exercice par l’actionnaire de ses droits. Il s’agit notamment du droit de participer aux assemblées générales et d’y voter.
Quand on est actionnaire, on est co-propriétaire de l’entreprise. A ce titre, on a des droits : droit à l’information, droit de vote à l’assemblée générale et droit au dividende s’il est distribué. Il y a trois moyens d’exercer son droit de vote : soit en se rendant à l’assemblée générale des actionnaires, soit par correspondance, soit par procuration. Avec la crise du Covid-19 plusieurs assemblées générales se sont déroulées de façon virtuelle en 2020.
SRD II est l’abréviation de «Shareholder Rights Directive» pour «Directive sur les droits des actionnaires[1]» en français. Cette directive modifie SRD I (qui date de 2007). La SRID II vise à favoriser l’engagement à long terme des actionnaires dans les sociétés cotées sur un marché réglementé européen et la transparence entre ces sociétés et les investisseurs.
Dans ce cadre, la directive veut faciliter l’interaction entre ces sociétés et leurs actionnaires. Elle vise aussi à améliorer la transmission des informations tout au long de la chaîne des intermédiaires. Il s’agit d’une directive d’harmonisation minimale. Elle précise explicitement que les États membres peuvent “imposer aux sociétés des obligations supplémentaires (…) ou prendre d’autres mesures supplémentaires pour faciliter l’exercice, par les actionnaires, des droits [que la directive] vise”[2]. La Belgique a opté pour une approche consistant à transposer fidèlement la directive.[3]
La directive instaure également l’obligation pour les sociétés de définir une politique de rémunération des dirigeants. Dès lors, la société doit soumettre cette politique de rémunération au vote (contraignant) des actionnaires, lors de l’assemblée générale.
La responsabilité actionnariale ne fait pas exception en ces temps particuliers: la saison de votes aux assemblées générales des entreprises est marquée par les reports, les retards et le recours au digital. La crise liée à la pandémie remet aussi certaines pratiques en question dans ce domaine. Continuer la lecture sur Moneystore de « COVID 19 : Une nouvelle ère pour les actionnaires? »
Voici les dates des assemblées générales en 2020 pour les sociétés reprises dans le Bel 20. Quand on est actionnaire, on est co-propriétaire de l’entreprise. A ce titre, on a des droits : droit à l’information, droit de vote à l’assemblée générale et droit au dividende s’il est distribué. Il y a trois moyens d’exercer son droit de vote : soit en se rendant à l’assemblée générale des actionnaires, soit par correspondance, soit par procuration.
Aujourd’hui, le vote aux assemblées générales des sociétés qui sont en portefeuille est un droit que peuvent exercer les gestionnaires. Mais ce droit ne devrait-il pas devenir un devoir ? En effet, les gestionnaires de fonds de pension, de portefeuilles et de sicav ont des obligations vis-à-vis des bénéficiaires, des clients ou des détenteurs de ces fonds.
Ce que l’on appelle l’engagement ou l’activisme actionnarial devrait être encouragé pour favoriser la bonne gouvernance. Cet engagement peut prendre différentes formes dont le vote aux assemblées générales des actionnaires.