Parce qu’il vaut toujours mieux bien comprendre dans quoi on investit, voici une rubrique qui reprend toutes les explications sur les produits de placement et d’assurance. Une façon simple et efficace de s’y retrouver dans le monde de la finance.
Épargner pour sa pension dès son entrée sur le marché de l’emploi ? L’idée, loin d’être saugrenue, pourrait bien permettre aux jeunes travailleurs de se mettre à l’abri : essentiel lorsque le système de pension actuel présente un avenir incertain.
Pour beaucoup de jeunes diplômés, c’est une nouvelle vie qui commence. Qui dit premier revenu dit possibilité de souscrire une épargne-pension. En revanche, ils sont nombreux à s’estimer trop jeunes pour y songer, mais est-ce vraiment le cas ? Faisons le point !
En tant que solution de placement à part entière, l’assurance-vie permet d’épargner ou d’investir en vue de faire fructifier un capital. Si le souscripteur est toujours en vie au terme du contrat (ou en cas de rachat), il en recevra le capital final. En cas de décès en cours de contrat, celui-ci sera versé à son « bénéficiaire en cas de décès », défini lors de la souscription.
Cependant, pour certains investisseurs potentiels, l’aspect fiscal peut représenter un frein. Faisons le point sur les différentes taxes liées aux produits d’assurance-vie de la branche 23.
Après avoir conquis les pays anglo-saxons, les robots de gestion tentent une percée sur les marchés financiers européens. Plutôt que de parler de robots de gestion, il convient plutôt de faire référence à la gestion automatisée. Dans ce type d’offre, la définition des profils des clients et l’adéquation de ces profils avec des portefeuilles-type sont basées sur des algorithmes. Les portefeuilles sont ensuite construits souvent sur base de trackers (ETF) ou de fonds indiciels. Cela engendre des coûts nettement moindres qu’en gestion classique.
Traditionnellement, les choix d’investissements sont guidés par la performance et le risque. Aujourd’hui, une autre composante s’invite dans la sélection des titres en portefeuille : la durabilité. Il semble que l’univers des investissements ait atteint un point de basculement. Désormais, les critères ESG sont de plus en plus intégrés dans la sélection des placements. Cette politique est guidée à la fois par la demande des institutionnels, des investisseurs particuliers et par les autorités.
Il n’y aura pas de retour en arrière. Ces exigences ne feront qu’augmenter. Les investissements durables représentaient 33% du total des actifs gérés en 2018. En 2021, ce pourcentage devrait atteindre 50% et 95% en 2030. En 2020, les investissements responsables ont battu des records avec des flux nets estimés à 20,9 milliards de dollars au cours des six premiers mois. Ce montant est presque égal au montant des flux entrants enregistrés pour l’ensemble de l’année 2019. Dans ce domaine, l’Europe a pris une longueur d’avance sur les autres régions du monde.
Par Pauline Grange, Portfolio Manager chez Columbia Threadneedle
Il n’est guère surprenant que de nombreuses personnes cherchent à rester en bonne santé compte tenu des rapports qui établissent un lien entre la gravité d’une contamination au Covid-19 et l’obésité. Ces rapports nous poussent non seulement à prendre en main notre santé, mais ils sont également susceptibles d’inciter les gouvernements à adopter des stratégies plus proactives pour combattre l’obésité et réduire l’incidence des facteurs de risque des maladies non transmissibles (MNT) telles que le diabète. Ces MNT sont non seulement associées aux cas les plus sévères de Covid-19, mais elles représentent également une charge croissante pour les systèmes de santé publics.
Imaginons que vous aviez investi en 1980 dans les cinq plus grandes capitalisations de l’indice S&P 500. Vous détiendriez alors, à l’époque, des actions IBM, AT&T, Exxon, Standard Oil et Schlumberger. Soit une valeur technologique, deux valeurs pétrolières et une entreprise d’équipements de forage pétrolier. C’était le règne des pétrolières.