Gérer et transmettre son patrimoine – Page 60 – MoneyStore

Pensions : Qu’entend-on par premier pilier des pensions ?

Lorsque l’on parle du premier pilier dans le cadre des pensions, on fait référence à la pension légale. Alors qu’il s’agit d’une pension octroyée par l’Etat, les versements ne sont pas identiques pour tous. En un mot : nous ne sommes pas tous égaux devant la pension légale. Pourquoi ne sommes-nous pas tous égaux face à cette allocation ? Comment calcule-t-on le montant de sa pension ? De quoi dépend ce montant ?  La pension légale sera-t-elle suffisante pour assurer les besoins futurs des pensionnés? Telles sont les questions que l’on se pose le plus fréquemment.

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Qu’est-ce que la gestion passive?

Un fonds indiciel est un fonds qui, comme son nom l’indique, suit un indice sans s’en écarter.

Sur base d’un indice

Un indice est un panier de valeurs qui est pris comme référence d’un marché, d’un secteur, d’un type de placements. L’indice s’il est global, peut reprendre toutes les actions cotées sur un marché ou seulement une partie de celui-ci. Il existe des indices mondiaux qui reprennent les plus grandes valeurs au niveau mondial (comme le MSCI World, par exemple). Il y a aussi des indices géographiques plus locaux comme l’Eurostoxx ou des indices par secteur. Les fonds indiciels ont une gestion passive. En effet, les décisions d’investir ne sont pas prises selon un processus de gestion actif où le gérant va investir en suivant une philosophie et une stratégie de gestion. Ici, le gérant se contente de suivre l’indice sans faire de choix stratégiques. Continuer la lecture sur Moneystore de « Qu’est-ce que la gestion passive? »

Qu’est-ce que la gestion conseil?

Selon votre profil d’investisseur, votre connaissance des instruments financiers et le temps dont vous disposez, vous pouvez choisir de déléguer totalement ou en partie la gestion de votre portefeuille de placement. Un choix important qu’il convient de prendre avec l’aide d’un conseiller financier.

En matière de placement financier, la notion de portefeuille se conçoit à partir d’un montant d’environ 100.000 € investis dans différents actifs financiers. On distingue quatre grandes classes d’actifs : les actions, les obligations, les placements alternatifs et les liquidités. Celles-ci regroupent chacune différents types d’instruments financiers de même catégorie et présentant des caractéristiques techniques semblables.

La classe « obligations », par exemple, regroupe les emprunts d’état, les obligations d’entreprise (classiques ou convertibles, liées à l’inflation, à taux flottant), les dettes émergentes, les sicav obligataires, etc.

Quel mode de gestion choisir ?

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Qu’est-ce que la volatilité ?

Dans le contexte actuel, on parle de la volatilité importante des marchés. Qu’entend-on par volatilité ? La volatilité d’un actif représente sa variation,  l’instabilité de son cours durant une période donnée. C’est la volatilité qui sert à déterminer et à mesurer le degré de risque d’un actif. Le calcul de ce degré de risque se fonde sur une formule mathématique qui détermine une approximation de la volatilité en se basant sur les évolutions passées de l’actif pour en déterminer sa volatilité future. Cette formule utilise l’écart-type des variations historiques du cours sur une période déterminée (un an, trois ans, par exemple). Généralement, on utilise la volatilité annualisée depuis la création du fonds.

La volatilité analyse comment le fonds a atteint sa performance annuelle. Est-ce en subissant de fortes hausses ou de fortes baisses de jour en jour ? Ou, au contraire, la variation de son cours a-t-elle connu une faible amplitude en dégageant des performances plus régulières ?

En général, l’investisseur va préférer un investissement qui connaît de faibles variations plutôt qu’un fonds qui atteint la même performance mais en oscillant comme des montagnes russes.

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Exploitez les possibilités de votre contrat de mariage : la clause d’attribution optionnelle

Une bonne planification commence par l’analyse du contrat de mariage !

En effet, au moment de l’ouverture de la succession, on vérifie tout d’abord si le défunt était marié et, si oui, sous quel régime. Cette information est déterminante pour partager un patrimoine.

Les régimes matrimoniaux les plus utilisés sont le régime de communauté et le régime de séparation de biens avec adjonction d’une société d’acquêts. Si les époux sont mariés en communauté (ou en séparation de biens avec adjonction d’une société d’acquêts), il y a une présomption de communauté : sauf clause contraire dans le contrat de mariage, tout bien dont il n’est pas prouvé qu’il est propre, est un bien commun.

Que se passe-t-il concrètement en cas de décès ?

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Ils divorcèrent et eurent beaucoup … d’ennuis

Avec un taux supérieur à un divorce pour deux mariages, la Belgique fait partie des champions en la matière. Le pire n’est donc jamais à exclure… L’envisager dès le début est certainement un moyen d’en atténuer certains effets. Il est important de prendre un certain nombre de dispositions pour se protéger une fois que l’on met un terme à la vie à deux. Le contrat de mariage est l’une d’entre elles. Pour ce faire, un passage par la case notaire avant celle de l’hôtel de ville s’impose.

« Aujourd’hui, on constate qu’il y a un plus grand équilibre entre les hommes et les femmes. Les couples qui se présentent devant le notaire sont plus équilibrés en termes de travail, de revenus et les femmes sont plus averties, ce qui n’était pas le cas il y a 20 ou 30 ans » affirme Maître Marc Van Beneden, Notaire. Les jeunes couples prévoient aussi davantage les situations qui peuvent survenir dans une vie à deux. L’interruption de carrière de la femme est envisagée, de même qu’une éventuelle rupture du couple. Mais comment prévenir les inévitables dégâts que peuvent engendrer les aléas de la vie ?

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European Rating Agency : Une agence de notation européenne et … indépendante !

Les consultants Roland Berger Strategy développe une initiative novatrice en matière de rating : la création et le développement d’une agence européenne de rating indépendante. Actuellement, les agences de notation anglo-saxonnes (S&P, Moody’s et Fitch) constituent un véritable monopole qui dicte sa loi sur les marchés. On se souviendra que, durant la crise de 2008, elles n’ont pas décelé le problème lié à Lehman Brothers. Aujourd’hui, elles jouent un rôle prépondérant sur les marchés financiers en publiant des notations sur les dettes souveraines et les institutions financières européennes. En marge de cette position oligopolistique, ces sociétés sont très souvent amenées à donner des notations sur des sociétés qui les financent ou à octroyer des notations sur des produits pour lesquels elles ont participé à la conception.

Une réglementation européenne avait déjà tenté d’assainir le secteur et, aujourd’hui, c’est une initiative concrète qui voit le jour. Continuer la lecture sur Moneystore de « European Rating Agency : Une agence de notation européenne et … indépendante ! »

Qu’est-ce que MiFID ?

Depuis le 1er novembre 2007, de nouvelles règles sont entrées en vigueur relatives aux investissements : ce sont les règles qui résultent d’une directive européenne appelée MiFID (Markets in Financial Instruments Directive).

Cette directive vise à assurer une meilleure protection de l’investisseur. Les règles MiFID sont instaurées pour conduire les investisseurs vers les produits financiers qui leur sont les plus adaptés et pour éviter que des personnes très conservatrices, par exemple, investissent dans des produits très risqués. Les règles MiFID s’appliquent quand un client est en conseil ou en gestion de fortune auprès d’institutions financières (banques ou sociétés de bourse). Dans ce cas, il y a lieu d’établir le profil de l’investisseur, la photographie de ce qu’il est et de ce qu’il veut en tant qu’investisseur et de l’interroger sur son expérience, ses connaissances, ses objectifs et sa situation financière. Elles ne s’appliquent pas aux transactions simples sur les plate-formes en ligne car ces opérations relèvent de l’exécution simple sans conseil.

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