
Virginie Derue, Directrice de la recherche ESG, AXA IM
La COP28 intervient au lendemain de la publication du premier bilan mondial des progrès accomplis dans la réalisation des objectifs climatiques, qui révèle de manière criante l’urgence d’une mobilisation bien plus forte.
La présidence de la COP28 a suscité de vives critiques, et l’absence de consensus international sur les priorités freine les initiatives.
Les transferts financiers vers les pays en développement devraient s’accroître à la suite de cette conférence, et les États comme les investisseurs pourraient avoir un rôle fondamental à jouer.
Cette année, la conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP28) marquera à bien des égards une étape importante dans la mesure où elle réagira à la publication du premier « bilan mondial » (Global Stocktake), l’évaluation la plus complète des progrès collectifs accomplis à ce jour par la planète dans la réalisation des objectifs de l’Accord de Paris de 2015.
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