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Bâtiments durables : comment créer un avenir plus vert et régénératif

Par Pictet AM

Rendre le secteur de la construction plus vert est devenu une priorité, mais il n’est pas certain que la transition représente une opportunité d’investissement rentable. Les participants au Klosters Forum 2023 cherchent à résoudre cette énigme.

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Les épargnants belges revoient leurs stratégies d’investissement

Selon une enquête réalisée par Schroders Global Investor Study 2023[1], les investisseurs belges sont contraints de réévaluer leurs stratégies d’investissement en réponse à la nouvelle réalité économique, à l’inflation persistante et aux incertitudes géopolitiques.

L’enquête de Schroders montre que près de 80 % des investisseurs belges pensent désormais que nous sommes entrés dans une nouvelle ère en termes de politiques et de comportement des marchés en raison de la hausse de l’inflation et des taux d’intérêt.

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COP28 : à quoi les investisseurs doivent-ils s’attendre ?

Virginie Derue, Directrice de la recherche ESG, AXA IM

La COP28 intervient au lendemain de la publication du premier bilan mondial des progrès accomplis dans la réalisation des objectifs climatiques, qui révèle de manière criante l’urgence d’une mobilisation bien plus forte.

La présidence de la COP28 a suscité de vives critiques, et l’absence de consensus international sur les priorités freine les initiatives.

Les transferts financiers vers les pays en développement devraient s’accroître à la suite de cette conférence, et les États comme les investisseurs pourraient avoir un rôle fondamental à jouer.

Cette année, la conférence des Nations unies sur les changements climatiques (COP28) marquera à bien des égards une étape importante dans la mesure où elle réagira à la publication du premier « bilan mondial » (Global Stocktake), l’évaluation la plus complète des progrès collectifs accomplis à ce jour par la planète dans la réalisation des objectifs de l’Accord de Paris de 2015.

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Les publications d’entreprises déçoivent : les petites et moyennes capitalisations creusent leur décote 

Par Thomas Planell, Gérant – analyste DNCA Investments.

La corrélation entre les actions et les taux longs ne faiblit pas, bien au contraire.« It’s all about bonds ! » résument à tour de rôle les éditos financiers anglo-saxons. Alors, quand les chiffres économiques augurent du scénario de rêve : une modération désinflationniste de la croissance, c’est l’euphorie. Galvanisés par de tels auspices, les marchés exaltent la même ardeur que leur insufflait autrefois l’évangile d’un nouveau quantitative easing à venir. Rallye combiné de l’obligataire et des actions, resserrement des spreads de crédit, écrasement du VIX, cycliques et défensives fermement ancrée dans le vert et à l’unisson : rien ne manque à la fresque de la révélation.

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De l’engagement à l’action : En écho à l’héritage de Bâle

Par DPAM

En 1988, le Comité de Bâle s’est lancé dans une mission visant à redéfinir le monde financier en publiant un ensemble de normes minimales de fonds propres pour mieux réguler le secteur bancaire. Ce périple a débuté avec les Accords de Bâle, communément appelés Bâle I, traitant du capital, des marchés et du risque opérationnel afin d’assurer que les institutions financières disposent de suffisamment de capitaux pour couvrir les pertes inattendues. Par la suite, Bâle II et III ont vu le jour, Bâle III étant une réponse à la crise financière mondiale de 2007-2008. Plus tôt cette année, en janvier 2023, Bâle IV a été introduit, marquant une transformation notable de 35 ans dans la régulation d’un secteur vital de l’économie mondiale.

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Gestion obligataire : un point d’inflexion 

Par Bastian Gries, Responsable de la Gestion Obligataire Investment Grade chez ODDO BHF Asset Management

L’atteinte probable d’un point culminant dans la politique de resserrement monétaire des banques centrales peut inciter les investisseurs à s’exposer au secteur obligataire pour tirer parti de points d’entrée attrayants.

En dépit de hausses de taux substantielles, les marchés ont étonnamment bien résisté cette année et les investisseurs ont pu bénéficier de solides performances sur les placements à risque, et ce malgré des risques systémiques accrus. En parallèle, même si le resserrement monétaire n’a pas encore produit tous ses effets, la tendance de l’inflation est désormais à la baisse, en dépit des chiffres encore élevés. Les banques centrales semblent ainsi avoir atteint leur point culminant en matière de hausse de taux, ce qui est un point positif pour les marchés obligataires, le fait d’atteindre le pic d’un cycle de hausse des taux constituant un environnement favorable pour les obligations à long terme.

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Obligations d’État des marchés émergents : une diversification intéressante

Par Trade Republic

Les investisseurs ont tendance à bouder les marchés du crédit des marchés émergents, mais aujourd’hui, il est possible d’obtenir des rendements intéressants. C’est certainement le cas des obligations d’État, car de plus en plus de pays maîtrisent leurs taux d’inflation et mettent de l’ordre dans leurs affaires, ce qui permet d’envisager des baisses de taux d’intérêt (ainsi que des prix obligataires plus élevés et des rendements supplémentaires). Pour un investisseur disposant d’un portefeuille diversifié, cela offre également des opportunités supplémentaires de diversification.

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Le cash est roi mais les obligations devraient régner !

 

Par JPM Asset Mangement

Après une décennie marquée par un rendement de l’épargne nul voire négatif, les épargnants américains et européens ont quelque peu retrouvé le sourire depuis le début de l’an passé.

En effet, les taux à court terme ont augmenté significativement dans le sillage des augmentations de taux des banques centrales. La Réserve Fédérale américaine (Fed) a ainsi relevé son taux directeur de 0,25% au début de l’an passé à 5,5% aujourd’hui tandis que la Banque Centrale Européenne a fait passer son taux de dépôt de -0,5% à 4% dans le même temps. Certes, l’inflation demeure élevée, avec un niveau de respectivement 3,7% et 4,3% aux Etats-Unis et en Europe, mais dans les deux cas elle baisse rapidement et devrait d’ici 12 mois retomber en dessous de 2,5%[1]. Les taux à court terme redeviennent donc attractifs tant d’un point de vue nominal que réel.

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