La crise de l’énergie et la montée de l’inflation viennent s’ajouter à un contexte de dérèglement climatique qui était déjà préoccupant. Toutes nos façons de vivre, de consommer, de nous loger, d’investir sont bousculées et vont devoir changer. Comment aborder les placements à long terme dans cette optique ? Pour vous éclairer dans ce domaine,
et
vous invitent au petit déjeuner financier en présentiel sur le thème
Placements durables : 4 leçons-clefs avant d’investir
Le mardi 22 novembre 2022
animé par Isabelle de Laminne, chroniqueuse à La Libre Belgique et blogueuse MoneyStore.be qui recevra
Didier Devreese, Head of Sales & Marketing chez NN IP Belgique
et
Christel Dumas, Professeur à l’ICHEC Brussels Management School
8h : Accueil des participants
8h30 : Conférence-débat avec Didier Devreese et Christel Dumas
Lieu : Convergence House (La Libre Belgique), Rue des Francs 79-1040 Bruxelles (Métro Mérode)
Inscription gratuite mais obligatoire sur le site de La Libre Belgique ici
Nombre de places limité.
Avec le soutien de
Je reviens sur mon commentaire de hier.
En fait, Jean Walravens a publié une nouvelle mouture de son ouvrage juste avant sa mort, ce que j’avais perdu de vue.
Le titre est différent : « Investir intelligemment »
https://www.editionsmardaga.com/products/investir-intelligemment
Bonjour Madame de Laminne,
Je me permets de soumettre à votre réflexion et, par votre intermédiaire, à vos invités, un extrait du livre du regretté Jean Walravens, victime du Covid, « ce que votre banquier ne veut pas que vous sachiez », paru en 2012 et dont il voulait sortir une version actualisée.
Cette réflexion me semble à tout le moins intéressante à envisager comme alternative aux propositions actuelles des banques.
En page 144 :
« Celui qui investi dans un fonds éthique est moins bien rémunéré. Sa perte est la contrepartie d’un surprofit des banques et d’une action sociale négligeable dont les conséquences ne vont pas toujours dans le sens recherché.
Pour l’investisseur qui a des préoccupations éthiques, il est préférable, à mon avis, de privilégier un investissement dans des fonds passifs à faible frais plus rémunérateurs et d’utiliser le supplément de revenu pour en faire don à des associations utiles à la société. Le rendement est le même et l’action sur la société, bien plus efficace, d’autant plus qu’elle peut encore être accrue par des réductions d’impôts qui accompagnent ces donations ».
Si vous le souhaitez, je vous fais un scan de la totalité du passage sur les placements éthiques ou « socialement responsables » (pp 141 à 144).